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-Celui qui pondu l'article est un con. L'album n'est pas si dégueulasse qu'il ne le p...
-Thanks pour la critique. C'est moi qui a fait la photo du cover et du back de l'album.
-ça ressemble à terror ce truc ou je me trompe
-led zepplin n' importe quoi et pourquoi pas acdc tant qu' on y'est
-je trouve que depuis qu; ils sont avec stay sick records eh bien je pense qu...
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-album super pour ma part rien à dire
-Dispo sur gpsprod.com également :)
-bon album super groupe pour moi c' est bien
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-je veux dire à tous le gens qui sont sur ce site darkrise c' est nul pas assez de so...
-parfait pour moi et pour vous quelle votre groupe de death mélodique préféré d...
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Russian CirclesStationPays : Etats-Unis Date de sortie : 2008 |
Style : Post-rock instrumental
Pour les Fans de : Pelican, Shora, Mogwai
Le batteur Dave Turncrantz et le guitariste Mike Sullivan décident de passer à la formule « trio supérieur » et engagent Brian Cook (Botch, These Arms Are Snakes) à la place de Colin DeKupier (présent sur le premier album "Enter"). A la production Matt Bayles (aussi ex-Botch et producteur entre-autres de Mastodon, Norma Jean ou Minus The Bear). Autant dire que le groupe part déjà avec un CV plutôt sympathique.
Le groupe propose un post-rock instrument, très évolutif. Tout débute avec des parasitages électroniques, puis le temps est donné. On voyage durant tout l’album entre passages calmes, montées en puissance des guitares, tour à tour noisy, parfois flamboyantes, ici plus douces, toujours accompagné par une basse omniprésente, qui sait se faire aériennes et parfois plus rugueuses. Là un orgue vient souligner une ambiance. On retrouve du synthé, toujours en soulignement de fond, qui permet de poser des ambiances cinématographiques, souvent tristes.
L’ensemble de l’album s’oriente vers des bases musicales aériennes et mélodiques, sans toutefois négliger les attaques saturées qui font les joies du style (à la Mogwai du début). Durant un peu plus de quarante-trois minutes, le trio vous invite à un voyage au cours duquel les paysages défilent au gré du temps qui passe. Difficile en effet de ne pas céder à cette succession de titres qui se suivent mais ne se ressemblent pas, et qui s’avèrent envoûtants du début à la fin. Grâce à des structures en perpétuelle évolution, le groupe vous mène où il le souhaite, en évitant habillement de tomber dans les plans qui s’éternisent. Bref, un groupe intéressant du début à la fin, qui devrait cependant réussir à s’écarter des latitudes de groupes comme Mono, Don Caballero ou Pelican, afin de trouver une réelle identité et pondre un véritable joyau. Sans être une révolution dans le vaste monde du post-rock, la musique de Russian Circles arrive à faire mouche et captive l’auditeur du début à la fin. Il n’y a clairement rien à jeter sur cette galette qui se bonifie au fil des écoutes, sans jamais lasser.
Alors si vous êtes amateur des groupes précités, il y a de fortes chances pour que cet album trouve sa place sur votre étagère et vous fasse passer un (très) bon moment.
Kronik : Xetal
Label : Suicide Squeeze Records
Site Web : www.russiancircles.net
Myspace : www.myspace.com/russiancircles
Site du label : www.suicidesqueeze.net
Kronik ajoutée le : 21/09/2008
Kronik cliquée : 3048 fois
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