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One Last Chance

Interview par e-mail réalisée le 18.12.2008 avec Xav et Flo, bassiste et chanteur de One Last Chance

One Last Chance

rose Salut ! Comment allez-vous ? Première question, pas forcément la plus facile ! Comment décririez-vous ONE LAST CHANCE ? D’abord musicalement, puis de manière plus large, d’un point de vue humain. Autrement dit, qui sont les individus qui se cachent derrière ONE LAST CHANCE et comment les (vous) décririez-vous brièvement ?
Xav : Musicalement je dirais qu’on fait du hardcore classique, avec des grosses mosh parts, certains disent qu’on fait du beatdown, cela n’engage qu’eux…. De manière plus large, on est une bande de potes et nous faisons de la musique ensemble, ce qui nous rassemble, c’est vraiment un amour commun pour la musique et également une envie de faire de la musique sincère et indépendante, hors business… un revival du fameux « by the kids, for the kids », mais l’amitié est le ciment principal du groupe.

Flo : On fait du hardcore ! Sur certains flyers de concerts on était mis sous « moshcore », « beatdown » ou encore « brutal hardcore ». Tout ça dépend du point de vue de la personne qui doit nous classifier. Nous, on dit « hardcore », et on a jamais cherché à creuser plus loin dans la dénomination. Le groupe est composé de Matt et Chris aux grattes, Xav à la basse, Baptiste à la batterie, et moi au chant. On est avant tout un groupe de potes qui partage la passion de la musique, des gens réunis par des sentiments et des émotions qu’on peut exprimer à travers le hardcore.

Pourquoi avoir choisi le nom ONE LAST CHANCE ? Quelle est cette dernière chance ? Personnellement, j’ai ma propre interprétation du nom en question, mais j’ignore si elle correspond à la vôtre…
Flo : On avait envie de faire une musique directe, sincère et sans fioritures. Le hardcore, c’est pour nous une musique de revendication qui bouscule les gens et les esprits…et, sans parler de mission, qui doit amener à faire réagir. ONE LAST CHANCE, c’était l’idée de prendre à parti les gens et comme si tu leur secouais la tête en leur disant : « T’es encore vivant ou t’es mort ??? Putain, bouge toi et lance toi, fais ce que t’as envie de faire ! Personne va le faire à ta place, ni aujourd’hui, ni demain. Le temps s’écoule tellement vite, c’est ta dernière chance de profiter de ton présent. »

Quelles sont les valeurs que vous défendez tous au sein du groupe ? Ce que j’apprécie dans ONE LAST CHANCE, c’est le fait que vous êtes tous relativement différents les uns des autres, du moins c’est comme cela que je vous perçois. Et pourtant, vous faites votre petit bonhomme de chemin ensemble…Qu’est-ce qui vous soude autant ?
Je ne sais pas si on peut parler de buts communs ou alors, comme mentionné ci-dessus, de valeurs communes ?

Xav : Basiquement, l’amitié, s’amuser et faire de la musique avec les potes… Sinon ce qui nous rassemble, c’est l’amour pour le hardcore et la musique en général… et aussi je trouve que l’humilité est une valeur qu’on a en commun… rester humble et toujours dire merci aux gens de venir à nos concerts, d’acheter notre disque ou notre merch... s’il y en avait un qui prenait la grosse tête dans OLC, on lui péterait les genoux direct !!!

Flo : On n’a aucun flambeau ! Ce qu’on prône c’est la sincérité, l’honnêteté et l’amitié. Oui, comme tu l’as souligné, on est tous différents dans le groupe. Des personnalités, caractères différents et également des styles et choix de vie différents. Quand certains vont manger un Triple Wooper, d’autres vont se cuisiner du tofu. On n’a pas de peine à passer des purs moments ensemble même si parfois il y a une différence de degrés d’alcool dans le sang entre deux personnes… Ce qui nous soude c’est le respect ! C’est aussi une bonne manière d’apprendre sur la vie et sur soi-même que de se confronter à des personnes n’ayant pas le même parcours et les mêmes convictions que soi. Et par rapport au groupe, on n’a aucune étiquette politique, « human » ou « animal rights », ce qui ne veut pas dire qu’on n’y pense pas ou qu’on en parle pas. Tout comme ça ne veut pas dire qu’on est straight edge si on fait un speech lors d’un concert qui encourage les gens à ne pas se droguer. Il y a trop d’amalgames faits un peu trop rapidement dans le hardcore ! On ne cherche pas à faire changer les gens car cette idée de marteler une idée précise à chaque morceau dans le but de changer le monde, je ne pense pas que ça soit la bonne solution pour se faire entendre. On finit par stigmatiser et rendre inaccessible des convictions pourtant tellement personnelles à chacun. Mais bon, c’est le propre de l’être humain de se rendre compte que ça a été un peu loin seulement à partir du moment ou il y a une guerre. Nous, on préfère faire la guerre avec nos potes et ceux qui en veulent en concert. No rules in the hardcore scene !

Florian, la suivante est pour toi ! Si je ne m’abuse, tu es vegan straight edge depuis quelques années maintenant. Parallèlement, tu vis à Genève, où apparemment il faut un peu jouer des coudes pour se faire entendre et accepter lorsqu’on a un style de vie alternatif. Je me réfère à certains propos que tu as tenus sur scène lors de concerts à Genève. De plus, beaucoup de gens considérés comme étant « hors normes » semblent avoir eu la vie dure ces dernières années sur Genève, je pense aux Roms, aux squatteurs, etc. Comment expliques-tu ce phénomène d’exclusion récurrent ? Xavier, si tu as également un avis sur le sujet, n’hésite pas !
Flo : La Genève internationale et ses magnifiques 140 multinationales établies sur le canton sont en train de bouffer le reste. Ça s’est fortement dégradé ces dernières années, maintenant la misère, la pauvreté, la déchéance et les difficultés sociales sont plus perceptibles qu’avant. Ce n’est pas rare de croiser des mendiants, des mecs complètement paumés à qui cette société leur a dit d’aller se faire foutre. Ce n’est pas la seule ville où tu vois la misère humaine et pas non plus la pire, mais quand c’est à 200 mètres des Nations Unis ça fout la gerbe… Donc en effet, ca s’est dégradé, enfin pas pour ceux des couches sociales aisées. Pour eux, c’est de plus en plus facile et pour d’autres de plus en plus durs. On en veut toujours à la classe moyenne et aux autres plus basses. C’est là où c’est le plus facile de taxer mais aussi là où ça fait le plus de dégâts. Ce n’est pas un cas unique, à Genève on aseptise tout et les squats en prennent pour leur grade. En l’espace d’un an, plus de cinq squats ont été fermés. Alors ouais, ce n’est pas cool pour les gens qui y habitaient car le marché de l’immobilier est saturé et le coût de la vie est cher, mais c’est aussi difficile pour ma voisine de 84 ans qui habite seule et qui a 1500.- par mois. Juste une parenthèse pour dire que les petits punks qui se font entretenir par leur parents et retournent chez maman quand il fait trop froid et squattent parce que ça fait stylé et rebelle, ça existe aussi ! Par contre, pour les milieux alternatifs c’est une réelle perte.

Xav : Oui à Genève, c’est un peu difficile pour les minorités, ça devient une sorte de Dubaï, où tout est clinquant et où finalement il y a de la place plus que pour les grandes fortunes… c’est à vomir. Ca conditionne vraiment des attitudes chez les individus, les gens sont hyper froids et distants, si je dis bonjour à mon voisin, il va me regarder hyper surpris, comme si je venais de lui dire d’aller se faire foutre… c’est vraiment étrange et malsain…

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Laissons un peu de côté les aspects négatifs de Genève, si vous le voulez bien ! Aujourd’hui, plusieurs nouveaux kids débarquent dans la scène hardcore, tout particulièrement dans la région de Genève. Ceux-ci montrent une très grande envie de s’y investir à fond, en donnant des coups de main aux concerts, par exemple. Je trouve cela extrêmement positif ! Mais bon, c’est courant dans le hardcore, les gens vont et viennent, on en a eu la preuve à maintes reprises dans le passé…Alors qu’en est-il de cette nouvelle vague, à votre avis ?
Xav : En effet, c’est vrai que dans le hardcore, vu que la scène est petite, ça se voit directement quand les gens disparaissent… C’est bien qu’il y ait des jeunes qui s’intéressent au hardcore, ça nous fait un public pour quand on joue à Genève ! Ahah ! Sinon ben, c’est toujours pareil, d’ici quelques années la plupart auront tourné la page, et il en restera une minorité que la musique et la scène auront vraiment touché et qui resteront impliqués à long terme dedans…

Flo : Personnellement, je soutiens tous les jeunes qui veulent faire du hardcore par passion même s’ils restent deux mois ou vingt ans. C’est cool d’être influencé ou d’influencer des gens proches dans notre région. Le hardcore, c’est le reflet de ta vie et trouver ses inspirations à travers la scène locale, c’est quelque chose d’important car encore une fois, personne va faire les choses pour toi. On a joué avec PROMETHEE et j’ai vraiment aimé leur attitude et musicalement ils assurent franchement. Il y a aussi THIRD IMPACT qui commence à bien se bouger et, associés à ça tous les groupes de Suisse romande, on a vraiment une forte effervescence et c’est grâce à tout ça que notre hardcore n’est pas mort.

Que pensez-vous de ce qui est couramment appelé au sein de la scène hardcore le violent dancing ? J’ai un peu l’impression que c’est un sujet sensible à l’heure actuelle, dans le sens où personne ne reste indifférent sur le sujet. Il y a d’un côté les supporteurs et de l’autre les détracteurs du violent dancing. Avez-vous la même vision que moi ?
Xav : C’est difficile comme question. Il y a un côté très « in your face » qui me plaît beaucoup dans le violent dancing, ça me parle parce que je trouve que le hardcore devient de plus en plus consensuel et mou… Cependant, ça ne doit pas être de la violence gratuite, il doit y avoir une réflexion derrière et malheureusement, réfléchir, ce n’est plus vraiment à la mode de nos jours… l’individualisme est tellement exacerbé dans notre société, les gens se la jouent « méchants » en permanence, autant dans le pit, que dans la rue, chacun veut faire mousser son ego en jouant au dur… je trouve ça terrible qu’on recrée ce schéma merdique de société dans le hardcore, qui est censé être un microcosme en résistance contre la société… c’est triste… comme l’avait dit une fois Silvio de LIFE AS WAR « donnons des coups de pieds ensemble plutôt que les uns contre les autres »… ça synthétise bien ce que je pense sur le sujet… J’aimerais juste que les gens en général aient un peu plus de compassion, autant du côté des mosh pitters (par exemple ne pas défoncer les bords quand il y a des filles ou des gens qui n’ont pas l’air de connaître ce style) que du côté du public (ne pas se mettre en plein milieu du pit avec une bière lorsque l’on sait que ça va danser), il n’y a que comme ça qu’on arrivera à cohabiter…

Flo : Ben je trouve qu’on en fait vraiment tout un plat ! On fait du hardcore, on danse hardcore et c’est violent, pour moi c’est logique ! Après, on n’oblige personne à danser. Bref, on aime ou on n’aime pas ! Moi j’aime car je trouve que ça représente la force et la puissance que cette musique dégage. Et même si les concerts de hardcore sont aussi des occasions de retrouver des potes et de faire la fête, les thèmes abordés par ce style de musique restent des sujets qui critiquent, qui dénoncent et qui s’exposent d’une manière crue et directe. Au final c’est : « Je ne suis pas d’accord et je vais le faire savoir ». Dans le violent dancing il y a un coté un peu marginal qu’on ne voit pas partout et ça j’aime bien. Il y a peu de musiques qui font bouger les gens comme ça…c’est bien la preuve que ça touche d’une manière profonde. Le hardcore, ça n’a jamais été un salon de thé !

Xavier, pourquoi t’es-tu mis à faire de la musique dans un groupe sur le tard ? Alors que tu n’es pourtant pas un néophyte dans la scène hardcore, n’est-ce pas ?
Xav : Simplement parce que mes potes Flo et Matt cherchaient un bassiste pour faire du hardcore avec eux, et quand ils m’ont proposé de jouer, j’ai accepté directement… c’était il y a deux ans ! A cette époque, j’avais de gros problèmes de dos qui font que j’ai dû arrêter le sport... du coup, il ne me restait plus que le hardcore… sinon oui le hardcore, ca fait depuis plus de 10 ans que ça me passionne… d’ailleurs un gros big up à tous les vieux de la scène !

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ONE LAST CHANCE a sorti son premier album tout récemment. Que pouvez-vous en dire ? Qui a contribué à sa réalisation, mis à part vous-mêmes, les membres du groupe ?
Xav : On peut en dire que ca a été enregistré vraiment rapidement (à peine une semaine) et que Thierry de Strike Audio a fait un super boulot… la qualité de l’enregistrement m’a vraiment soufflé ! On a également eu la chance de jouir d’une aide de la ville de Genève pour sortir notre disque… on a envoyé un dossier à l’Usine et ils nous ont sponsorisés … et donc, plutôt que de sortir une démo dans une boîte en carton, on a fait un vrai disque… que l’on vend au prix d’une démo !

Flo : Oui, on vient de sortir notre premier album démo « To Prove You Wrong » sur HCR. Ben déjà que c’est un sacré boulot de sortir un album et quand on les a reçus c’était pour moi un rêve qui se réalisait même si les concerts restent ce qui me plait le plus. On voulait à la base faire une simple démo genre CD-R et pochette papier et on s’est tous emballés pour en faire quelque chose de plus gros. Il y a beaucoup de gens impliqués dans cet album comme par exemple Schahin de BLOWN et East-Nyon Crew pour le layout et Strike pour le studio.

Xav : …et STEP AHEAD pour les backings vocals sur la chanson « I don’t Fucking Care » !

Quelles sont les prochaines étapes pour le groupe ? Enfin, je ne sais pas si le terme « étape » est approprié…
Xav : Euh… faire une pause ! On va calmer les concerts jusqu’en mars parce qu’on a quand même pas mal joué ces derniers temps. Mais sinon, on n’a pas vraiment de but, tant qu’on s’amuse et qu’on a du plaisir à jouer, on va continuer…

Flo : Pas grand-chose de plus que maintenant. Toujours avoir du plaisir à jouer. Jouer dans des lieux qu’on ne connaît pas et rencontrer des gens et faire un maximum de cash !

Xav : Ouais du cash c’est vrai… et aussi introduire un clavier et des voix claires, ça c’est vraiment la prochaine grosse étape !!!

Que pensez-vous de l’état actuel de la scène suisse ?

Xav : Malgré le clivage entre hardcore « oldschool » et « new school » qui me soûle un peu, je trouve que la scène suisse est vraiment bien, on y rencontre beaucoup de gens intéressants, intelligents et qui ont une réelle soif de faire évoluer les choses. En plus, on a des groupes qui sont quand même hyper influents tels que CATARACT ou SOLID GROUND… la seule chose que je peux déplorer, c’est le manque d’endroits en Suisse romande pour organiser des concerts, ça devient vraiment problématique…

Flo : Je trouve que ça n’a jamais été aussi bien. Il y a des nouveaux groupes qui naissent, des nouvelles têtes aux shows et il y a beaucoup plus de connexions à travers la Suisse. On a nos potes en Suisse allemande, des gens qu’on aime comme MIMICRY, Pitfire, Serguey de Explosive Events et au Tessin avec FACE THE GAME. Ce qui est aussi excellent, c’est qu’on ne fait pas tous la même musique, il y a beaucoup de styles différents. A une échelle plus petite, c’est vraiment l’émeute ! Il y a une forte unité entre les gens et par moment on peut vraiment parler de famille. Comme pour l’anniversaire à Silvio où on est monté à 50 en car à Schaffhouse pour un show de LIFE AS WAR. Si on en avait tous rien à foutre, qu’on se tirerait tous dans les pattes et qu’il y avait de la compétition entre nous, ça ne se passerait sûrement pas comme ça et on n’y perdrait tous !

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Le monde doit savoir ! À vos débuts, vous répétiez à Genève avant de vous faire lâchement éjectés de votre local…et depuis, c’est à Vevey que se trouve le QG de ONE LAST CHANCE ! Haha ! Que s’est-il passé et que seriez-vous encore prêts à « subir » ? Ce déménagement ne vous a-t-il pas un peu compliqué la vie ?
Flo : Ben, on ne pouvait plus répéter à Genève et on ne trouvait pas de local de répète. En plus de ça, on a eu des problèmes de line-up. On a parlé à Baptiste, qui jouait à l’époque dans Dawn of Suffering, il nous a proposé de venir jouer dans son local à Vevey. En plus de ça, il était chaud pour jouer avec nous. C’est à ce moment que le groupe a vraiment démarré ! C’est clair que c’est vraiment trop chiant de se taper deux heures de caisse pour répéter mais sans ce sacrifice, on n’aurait jamais sorti de CD et pas fait plus d’un concert.

Quels sont vos cinq disques favoris ? De tous les temps donc…Hé ouais, les gars, tout le monde y passe !
Xav : ASSASSIN – L’Homicide Volontaire
BOB MARLEY – Tout, la base de mon amour pour la musique !!!
BEN HARPER – Welcome to The Cruel World
MADBALL – Hold It Down
FIRST BLOOD – Demo

Flo : LIFE AS WAR - Ultima Ratio: Parce que c’est le seul disque dont je connaissais tous les morceaux avant qu’il sorte.
PREJUDICE - Inner Struggle : Car sans ce disque je ne jouerais sûrement pas dans OLC.
MADBALL – Set It Off : Ca, c’est toujours autant vrai et hardcore même après 10 ans.
JOHN LEE HOOKER – Chill Out : Bien plus hardcore que certain groupes de hardcore.
ALL HELL BREAKS LOOSE - Tout

Merci beaucoup d’avoir pris le temps de répondre à ces quelques questions ! Souhaitez-vous ajouter quelque chose ?
Allez checker BLACK HILL, anciennement LOST ALONE, un putain de groupe de hardcore qui va refaire des concerts ces prochains temps après une période off… Sinon merci à toi Bastien et à Skartnak, et merci à tous les gens qui nous soutiennent ! Et merci à l’Usine également pour leur soutien !

Interview : Bastien

Plus d'infos :

Label : Hardcore Resistance

MySpace : www.myspace.com/onelastchancegva

Site Web : Pas de site

Site du label: www.myspace.com/www.hardcoreresistance


Interview cliquée : 18074 fois



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One Last Chance

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Date de sortie : 2008

Note: 5/5


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Lieu : Les Temps Modernes - Vevey

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Liste des commentaires :

Matt OLC

Mais tout simplement parce que quand tu viens d'un pays comme la Suisse, t'es obligé de t'intéresser aux championnats étrangés. Parce que sinon tu te fais chier. Et moi quand j'avais 8 ans, Newcastle représentait le plus beau foot avec ses beaux maillots et ses 4 buts par matches. Ca fait 14 ans que je suis cette équipe et je la suiverai tjs. Voilà, je crois que c'est clair...Toon Army!!! ha ha trop bien cette interview ;-)

Posté le : 30.12.2008 à 10:50

bastien

J'ai une question pour toi, Mat: pourquoi soutenir Newcastle? Ils sont tout pourris!!! Et je veux des ARGUMENTS!

Posté le : 29.12.2008 à 16:17

Matt OLC

Euh... J'ai pas recus les questions moi... C'est trop tard pour faire une interview? ;-)
Biz à tout le monde et les zébis

Posté le : 29.12.2008 à 14:29

Baptiste

ahah le triple wooper c est pour moi!!! je vous aime les copains!

Posté le : 29.12.2008 à 00:03

Strike

idem! Merci à vous les filles. ça m'a fait plaisir de vous lire. à tout bientôt.

Posté le : 28.12.2008 à 23:56

alain_BlackHIll

Moi aussi! Et merci pour le big up!

Posté le : 28.12.2008 à 20:53

PROMETHEE

big up à OLC !! à bientôt !

Posté le : 25.12.2008 à 16:38

Tálio

JE VOUS AIME LES GARS

Posté le : 24.12.2008 à 16:17

lionel

"par exemple ne pas défoncer les bords quand il y a des filles ou des gens qui n’ont pas l’air de connaître ce style..." Les filles sont tout aussi capables de tournoyer leurs membres sévèrement, c'est pas réserver aux masculinistes, all ages, all sex, all colours in the shows!!!

sinon vraiment une super interview, rien à redire!!

Posté le : 22.12.2008 à 11:48

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