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Skartnak Version

No Use For A Name

Le : 20.09.2020 à 14:59

-Celui qui pondu l'article est un con. L'album n'est pas si dégueulasse qu'il ne le p...

Matchup, The

Le : 14.02.2020 à 00:19

-Thanks pour la critique. C'est moi qui a fait la photo du cover et du back de l'album.

Within Walls

Le : 21.08.2019 à 12:14

-ça ressemble à terror ce truc ou je me trompe

Café Flesh

Le : 20.08.2019 à 22:01

-led zepplin n' importe quoi et pourquoi pas acdc tant qu' on y'est

On Broken Wings

Le : 12.08.2019 à 16:58

-je trouve que depuis qu; ils sont avec stay sick records eh bien je pense qu...

Nathen Maxwell & The Original Bunny Gang

Le : 09.05.2019 à 10:37

-hey, very nice site.thansk for sharing site Dedicatedhosting4u provides reliable an...

Jesse Lebourdais

Future Faces

Facing The Enemy

Le : 31.03.2017 à 05:57

-bon album super groupe pour moi c' est bien

KK Null

Le : 27.11.2016 à 15:19

-yo ! KK Null sera en concert à Paris aux Instant Chavirés le mardi 6 décembre e...

Darkrise

Le : 06.10.2016 à 06:20

-je veux dire à tous le gens qui sont sur ce site darkrise c' est nul pas assez de so...

Marionette, The

Le : 27.05.2016 à 19:40

-parfait pour moi et pour vous quelle votre groupe de death mélodique préféré d...

Total : 2325 commentaires

Danzig

Deth Red Sabaoth

Pays : USA

Date de sortie : 2010

Note du kronikeur :

Très bon

Note des lecteurs :

Total : 4 notes

Style : heavy/doom rock bluesy et hanté

Pour les Fans de : retour aux sources du Mal

Note cet album :

Skartnak.com Neuvième album de l’Evil Elvis pour ce projet et un des meilleurs pour ma part. Revenant aux sources du rock sombre de ses débuts, Glenn a compris qu’il devait délaisser les innovations pondues dans certaines de ses productions précédentes (l’industriel Blackacidevil) pour revenir au son qui fit son succès il y a plus de vingt ans c'est-à-dire toutes guitares dehors, une voix de maître des enfers et un rythme allant du relativement lent au très lourd et ténébreux.

Ténébreux est l’adjectif parfait pour qualifier cet album puisque tout au long des onze pistes nous nous retrouvons face à de véritables odes aux mondes souterrains. Alors bien sûr d’aucuns diront que tel album black metal satanico-dépressif est LA bande-son des enfers, l’ultime pamphlet contre tout ce qui peut y avoir de beau sur terre,… sauf qu’ici on arrive à ressentir de tels sentiments au travers d’une musique simple, belle et catchy ; sans aucun artifice ou extrémisme à quelque niveau que ce soit. Il ne s’agit pas d’avoir une voix de "lutin voleur de slips infernaux" pour avoir quelque chose de censé à dire. (cela dit j’adore l’Anaal Nathrakh du Codex Necro)

L’album débute brutalement avec son titre le plus rock n’roll, l’ambiance y est quasi-festive tiens ! Sacrées guitares ! La deuxième répète inlassablement le même riff excepté durant le refrain et ajoute un solo par-ci par-là. Les deux suivantes assombrissent d’un coup l’ambiance du disque à grands coups de mid-tempos lourds à souhait et cet effet ne vas qu’aller crescendo jusqu'au titre de clôture (exceptée "On a wicked night" qui est la plus faible piste à mon goût avec le titre de la chanson répété à outrance tout au long des quatre minutes. Celle qui suit n’est pas la plus inspirée non plus d’ailleurs mais passe beaucoup mieux.
Et arrive en septième position ma petite chouchoute répondant au doux nom de Juju bone et provenant directement de lugubres marécages. Un mid tempo heavy/blues on ne peut plus simple et efficace avec soli et tout le bordel ! Je cœur très beaucoup !

Le rock de Danzig se veut donc sombre, lent, désespéré,… du doom quoi !
Bah oui un peu pour certains morceaux à l’ambiance glauque et au tempo apaisé comme l’atteste le dernier quart de l’album. "Night star hel" et ses guitares écrasantes, sa batterie ralentie cela malgré sa subite augmentation rythmique aux deux tiers. Le diptyque "Pyre of souls" dont le premier acte est un interlude avec guitare sèche, piano, triangle et chœurs et le second une nouvelle offrande clairement heavy/doom désenchanté. La dernière piste, malgré les coups de baguettes "à la Ramones" en intro, est du même acabit et achève de nous transporter dans les obscures contrées de notre cher bodybuildé.

Les médisants du coin ou coincés du cul déclameront que Danzig est mort après les trois, quatre premiers albums et que le reste n’est que gros caca. Ils n’ont pas raison pour certains et forcement tort pour celui-ci.

Kronik : bennythunders

Plus d'infos :

Label : The End Records

Site Web : www.danzig-verotik.com

Myspace : www.myspace.com/danzig

Site du label : www.theendrecords.com

Kronik ajoutée le : 09/12/2011

Kronik cliquée : 3837 fois

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