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-Celui qui pondu l'article est un con. L'album n'est pas si dégueulasse qu'il ne le p...
-Thanks pour la critique. C'est moi qui a fait la photo du cover et du back de l'album.
-ça ressemble à terror ce truc ou je me trompe
-led zepplin n' importe quoi et pourquoi pas acdc tant qu' on y'est
-je trouve que depuis qu; ils sont avec stay sick records eh bien je pense qu...
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-album super pour ma part rien à dire
-Dispo sur gpsprod.com également :)
-bon album super groupe pour moi c' est bien
-yo ! KK Null sera en concert à Paris aux Instant Chavirés le mardi 6 décembre e...
-je veux dire à tous le gens qui sont sur ce site darkrise c' est nul pas assez de so...
-parfait pour moi et pour vous quelle votre groupe de death mélodique préféré d...
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Love Hate HeroWhite LiesPays : USA Date de sortie : 2007 |
Style : Postcore
Pour les Fans de : Atreyu, A Day To Remember, Escape The Fate
Après le hardcore, le métalcore, l’émocore, voici arrivé le temps du postcore ! Une appellation très vague pour un style qui l’est tout autant, sorte de méli-mélo de hardcore, d’émo, de métal, de screamo… Bref, un genre de catégorie fourre-tout qui désigne une nouvelle vague de formations qui débarquent en masse…
LoveHateHero, proclamé par son label Ferret comme étant le point de départ de cette nouvelle scène, nous délivre sa deuxième galette, « White Lies ». Qu’en est-il alors de ce prétendu postcore ?
Rien de bien nouveau à vrai dire : LoveHateHero suit la route tracée par A Day To Remember et leur pop-mosh énergique .La nouvelle scène des jeunes à la mèche dans le vent est basée sur une particularité que l’on retrouve à chaque fois : ils jouent avec les antithèses. En effet que cela soit chez Bullet For My Valentine, A Day To Remember ou Escape The Fate, la sensibilité des mélodies pop est mêlée à des rythmiques agressives inspirées du métal ou du hardcore. La fragilité contraste avec la puissance, le noir avec le rose, les têtes de mort avec les cœurs. LoveHateHero s’illustre comme un digne descendant de ce mouvement où les hommes assument enfin leur côté féminin.
Joli exemple de ce contraste avec « She Puts The Ho In The Homewrecker ». Après un début de chanson chaotique, la voix de Pierrick Berube au bord de la rupture et un son très lourd, la formation nous offre un passage chanté très mélodique en restant énergique et entraînant. Même son de cloche avec « Running With Scissors ». Sur « Goodbye My Love », on a droit à une démonstration de maîtrise musicale avec un passage à l’influence heavy. Le batteur s’en donne à cœur joie sur « Hollywoodemia », le morceau le plus dansant de l’ensemble. La plus belle chanson de cet album reste pour moi « Red Dress » où le groupe fait passer toute l’émotion d’un amour mélancolique.
Cet album démontre le réel talent musical des Californiens. Le tout est rythmé par un batteur plutôt en forme, les passages heavy sont maîtrisés (contrairement à ceux d’Escape The Fate qui sont relativement affreux). Bien sûr, LoveHateHero n’ont pas inventé la poudre, mais il faut reconnaître qu’ils renouvellent le genre grâce à leur fraîcheur. C’est vrai que le mélange continuel de mélodies mielleuses et de riffs rageurs peut agacer, mais il permet surtout d’exprimer des émotions contradictoires. LoveHateHero montre que rien n’est tout noir ou tout blanc et qu’une mèche bien plaquée peut se décoiffer. Et c’est tellement agréable…
Kronik : Florence
Label : Ferret Records
Site Web : www.lovehatehero.com
Myspace : www.myspace.com/lovehatehero
Site du label : www.ferretstyle.com
Kronik ajoutée le : 21/04/2008
Kronik cliquée : 4597 fois
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