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-Celui qui pondu l'article est un con. L'album n'est pas si dégueulasse qu'il ne le p...
-Thanks pour la critique. C'est moi qui a fait la photo du cover et du back de l'album.
-ça ressemble à terror ce truc ou je me trompe
-led zepplin n' importe quoi et pourquoi pas acdc tant qu' on y'est
-je trouve que depuis qu; ils sont avec stay sick records eh bien je pense qu...
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-album super pour ma part rien à dire
-Dispo sur gpsprod.com également :)
-bon album super groupe pour moi c' est bien
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-je veux dire à tous le gens qui sont sur ce site darkrise c' est nul pas assez de so...
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Emily Jane WhiteOde To SentencePays : USA Date de sortie : 2010 |
Style : Folk
Pour les Fans de : Cat Power, Hope Sandoval, PJ Harvey
Nous voici bien éloignés des groupes habituellement à l’honneur sur Skartnak. Ici, pas de chants gluturaux, ni ne batterie rapide ou de basse vrombissante. Le songwriting d’Emily Jane White se situe dans une pure tradition folk.
La jeune femme a grandi dans une maison boisée de Fort Bragg, une ville nichée dans la brume, sur la côte californienne. Une ville où l’on dit paraît-il « vous vivrez, et puis vous mourrez aussi assurément ». Dans ce genre d’endroits tout se passe plus lentement, les gens prennent le temps de vivre. Ceci explique peut-être l’atmosphère qui se dégage tout au long de l’album. La musique d’ Emily Jane White n’est pas joyeuse, elle est emplie de mélancolie.
La voix de l’Américaine n’est souvent portée que par les arpèges de sa seule guitare, ou de son piano. Quand ce n’est pas le cas, on observe que les arrangements ne sont judicieusement pas grandiloquents : tout au plus une basse discrète, un jeu subtil de slide guitar, quelques violoncelles. Il n’est pas question d’une éventuelle montée en puissance ou de surcharge inutile dans les instruments. La part belle est faite aux émotions que l'on ressent à l’écoute de ces mélodies pures et aériennes. On est emmené dans un univers sombre, parfois triste, mais finalement apaisant.
Il n’y a aucun titre à jeter, il faut embrasser l’ensemble et apprécier la fluidité qui caractérise l’enchaînement de ces dix compositions. Mention spéciale malgré tout pour The Cliff, The Black Oak et I Lay To Rest (California).
Ce troisième opus d’Emily Jane White lui permet de s’affirmer déjà comme une toute grande, en s’affranchissant définitivement de son aînée Cat Power. Et de notre côté, on s’évade quelque peu de notre stress quotidien grâce à ce disque reposant. Idéal pour les froides soirées hivernales, au coin d'un feu.
Kronik : Jérémy
Label : Talitres records
Site Web : www.emilyjanewhite.com
Myspace : www.myspace.com/emilyjanewhite
Site du label : www.talitres.com
Kronik ajoutée le : 13/12/2010
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